Les forêts de Fateria

Alors que le monde d'Obledan n'étant encore qu'une gigantesque plaine recouverte de lacs, les deux Déesses Mylna et Elki, chargées par Saris de faire naître de la terre arbres, buissons et fleurs, s'allièrent pour fonder une forêt ensorcelée plus puissante et mystérieuse que toutes les autres. Cette forêt possédait une aura de guerison et de bienveillance qui accompagnait quiconque y entrait et lui conférait un sentiment de bonheur et de bien-être. Cette forêt était la plus belle, la plus acceuillante et la plus sûre de toute. Ses habitants quels qu'ils soient pouvaient y vivre paisible et en symbiose. On lui donna le nom de Fateria qui signifiait "Bienveillante" en langue ancienne.
Mais cela ne dura pas. Il advint que le démoniaque Dieu de la corruption et de la mort, Niemh, fut pris de jalousie envers cette forêt où presque aucune vie n'était en danger. Il tenta tout d'abord de pervertir les habitants de la forêt magique à l'aide d'espions. Mais l'atmosphère bénéfique du lieu empêcha ceux ci de faire beaucoup de dégats.
Contrarié, Niemh essaya ensuite d'empoisonner les eaux de la Frennt, la rivière qui traversait la forêt. Il fallit réussir et de nombreux habitants de Fateria périr empoisonnés par les eaux souillées. Le peuple se mit à prier Mylna de leur venir en aide. La Déesse de la nature entendit leurs supplication et répendit sur l'eau une poudre d'or qui purifia la rivière et guéri les malades.
Devant ce nouvel échec, Niemh entra dans une rage terrible et décida de raser complêtement cette forêt qui lui tenait tête. Il envoya ses armées de morts vivants par milliers. Les habitants de Fateria se battirent vaillement et la guerre dura deux ans. Mais les forces maléfique de Niemh ne semblait jamais disparaitre et revenait toujours plus nombreuses. Chaque jours la bataille faisait rage entre les peuples de Fateria, décidés à défendre leur forêt, et l'indénombrable armée de morts-vivants du Dieu revanchar et chaque jours apportait sa quantité de sang qui coulait sur le sol de terre, abreuvant les arbres.
Les habitants de Fateria furent peu à peu décimés et les survivants supplièrent de nouveau la Déesse Mylna de leur apporter son aide. La Déesse, pour sauver ce peuple condamné à la damnation éternelle, fut obligée d'entourer la forêt d'un sortilège de protection extrèmement puissant qui sauva les morts comme les survivants des ténèbres de Niemh. Mais ce sortilège avait un prix. En effet le peuple, s'il fut sauvé, fut condamné à vivre sous l'état d'esprits, ne pouvant plus jamais éprouver le moindre sentiment ou le moindre sens.
Aujourd'hui la forêt de Fateria n'a plus rien du lieu magique et bienveillant qu'elle était autrefois. C'est de nos jour un endroit mystérieux, inquietant et même parfois dangereux dans lequel réside toutes sortes de créatures plus ou moins agressives et des esprits tourmentés errant sans but. Très peu de gens peuvent se vanter d'y être entré pour la simple que tout ceux qui l'ont fait n'en sont jamais resortis...

A quelques kilomètres de la forêt de Fateria se trouve la ville de Pieltarche. Grande et prospère, cette ville est généralement acceuillante et les complots y sont rares, le gouvernement dirigé par les deux frères Lames-de-Feu ayant traqués les malfeteurs durant de nombreuses années. C'est dans cette ville qu'à été élevé depuis son plus jeune âge le prince Agyr, héritier du royaume d'Urthar.
Les rues de Pieltarche sont généralement animés et bruyante. Mais ce jour là, une agitation particulière animait les habitants. Cette agitation semblait dût à une grande affiche qui recouvrait la moitié des murs de la ville. En s'approchant un peu de l'affiche on pouvait y lire:
"Oyez! Avis à la population! Notre noble Roi Defeldyr vient de décéder hier d'une terrible maladie. Ce drame oblige sont fils, le seigneur-prince Agyr à porter la couronne. Avis à tous les aventuriers en quête d'aventure! Le prince doit être excorté jusqu'à Urthar notre capital! Promesse de grande récompense! Pour plus de renseignements adressez vous au chef de la garde."
Le chef de la garde en question était posté devant la caserne principale de la ville à coté d'un scribe et attendait les futurs gardes du corps.

A vous joueurs!

Tiens tiens, une quete....allons voir ce chef de la garde ! Ischnar tourna des heures et des heures dans la ville, il avait beau demander son chemin, rien a faire...puis enfin, il aperçut le soldat tant convoité, il s' approche et lui dit : Je te salut brave guerrier, si je suis ici devant toi c' est pour la quete, sur l' affiche dans la rue....y a t il encore une plaçe de libre ou est il trop tard ??? Il y a toujours une plaçe pour un pretre !!!

Le chef de la garde, un colosse au visage dur et zébré de balafres, salua son interlocuteur de la tête et dit d'une voix posée et grave:
"Bienvenue à vous noble prêtre élémentaliste. Vous êtes le premier aventurier à vous présenter à nous. Comme vous avez dût le lire sur l'affiche, cette mission est de toute importance. Si vous l'acceptez vous devrez escorter le prince Agyr jusqu'à sa ville natale pour qu'il y soit courroné."
Le scribe à coté de lui se mit à griffonner sur son parchemin en jetant des regards curieux à Ischnar.

Je n' ai pas fait tout ce chemin pour repartie bredouille, j' accepte votre quete avec le plus grand honneur ! Retorque Ischnar tout en inclinant la tete...

Maximus debarqua dans la salle couvert de sueur. Il vi le garde avec a coté de lui un elf
Sa doit etre ici
euh..., bonjour.. c'est ici que vous recruter des personnes pour escorter le roi?
Avec ma chance, sa va etre non...

Le garde se tourna vers le nouvel arrivant et le regarda un instant avec un regard amusé. Puis il lui lanca:
"Je crois que l'on vous a mal informé mon jeune ami. Il ne sagit pas dans cette mission d'escorter le roi, pour la bonne et simple raison qu'il est décédé hier au soir. C'est son fils Agyr qui doit être escorté jusqu'à Uthar pour y être couronné."
Pendant ce temps, le scribe à coté du chef de la garde s'adressa à Ischnar:
"Si vous acceptez cette mission, signez ici, dit il en tendant à l'élémentaliste une plume et un parchemin ou était déja écrit son nom. Une avance vous sera donnée."

Ischnar saisit le parchemin et signa... Oui, de l' or...

Maximus preznd un aire odin
Selon, moi, quand le roi meurt, le prince devient lui meme roi! Etant donné que le roi machin est mort il est normal qu'on escorte le prince donc le nouvo roi!
En disant cela, il saisi la papier et inscrit son nom dessu

Le scribe jette un regard outré à Maximus."Comment osez vous parlez ainsi de notre noble et regretté monarque! Le roi Delfeldyr a beaucoup apporté à son peuple! Il était bon et loyal envers nous et nous honorons sa mémoire!"
Le chef de la garde le fit taire d'un geste de la main."Il suffit Meldor! Ce jeune homme est surment étranger dans cette ville. Il ne doit pas connaitre ses coutumes et respects."

Paix a son ame...

Manqurai plus qu'on me traite de bouseux...
Il est vrai que je ne suis pas d'içi.
Maximus se penceh en avant et regarde si il a bien ecrit son nom là où il fallait en tirant la langue
elles sont où les petite lignes?

Pendant que Maximus relit le papier, le scribe se tourne vers Ischnar et, sortant une bourse de cuire de sa poche, la lui tend en disant:"Voilà votre avance, maintenant vous ne pouvez plus reculer."
Ouvrant la bourse, Ischnar y découvre 100 po.

+100 po pour Ischnar

Quoi, les caisses du royaume son vide ? ou alors ils veulent vraiment qu' il meurt ce prince....100, c' est vraiment tout ?

Un homme encapuchoné entre dans la pièce et s'avance à la table : Arutha Sart. Mystique. Je suis du voyage !

Le chef de la garde lance un regard au mystique et dit:"Soyez le bienvenue! Si vous vous sentez près à escorter le prince Agyr, signez le parchemin qui est sur cette table."Il désigne la table où le scribe est assis. Celui ci tend à nouveau le papier et la plume.

Maximus rendi la feuille et tendi la main aupres du garde qui venait de donné de l'argent à l'elf
Le plus interressant maintenant

un petit gaillard tout menu mais a l'esprit vif cherche a rejoindre lui aussi la compagnie
bien le bonjour la compagnie puis je me joindre vous les poltrons

sa commence bien...

Poltron? moi?
MAximus indiqua du doigh les garde avec un regard daideigneiux
C'est là...

Arutha signe le papier : Et l'argent ?

Le scribe sortie à nouveau deux bourses de sa ceinture et en tendit une à Arutha et une à Maximus."Voilà votre avance, maintenant positionnez vous à coté du chef de la garde en attendant les prochaines instruction" dit le scribe en désignant le concerné.

+100 po pour Maximus
+100 po pour Arutha

Pendant ce temps, le chef de la garde se tourna vers le nouvel arrivant et lui lanca."Si vous cherchez l'aventure vous avez frappé à la bonne porte, mais il n'y a pas de place dans cette mission pour les fanfaron, alors il va falloir calmer votre ardeur mon jeune ami."

En entendant cela, Maximus sourit
Bien fait pour sa *censuré*

Une fille arrivait vers le regroupement, elle avait un voile blanc autour de ces bras et une robe verte. En arrivant vers les mercenaires , elle fit une réverance et fit trounoyer son voile pour marqué sa présence.
"Bonjours ! je suis ici pour la mission! ya t-il de la place pour une prêtresse !?" Je crois que je vais faire bonne imprésion !

Le chef de la garde s'incline devant la prétresse.
"Salutation à vous. Effectivement, je crois que vous ne serez pas trop de deux prêtres." En disant cela il désigne Ischnar qui attend toujours derrière le scribe.
"Si vous vous sentez prète pour une quête périlleuse signez le parchemin et bienvenue dans la mission."

Ninan rougit Il s'est incliné c'est bon signe !!eheh ! puis soudain elle acourrut pour signer le parchemin
Je suis heureuse de faire ce chemin avec vous ... Je nevous décerez pas ! dit Ninan en souriant

Je ne suis pas qu'un prêtre moi !! EhEh! pensa Nina en signant le parchemin.

Après que la prêtresse ai signé le parchemin, le scribe lui tend une bourse de cuire et dit:
"Voilà votre avance. N'oubliez pas que maintenant vous ne pouvez plus faire marche arrière."
Puis regardant tout les aventuriers il leur lance:
"Toute trahison envers le prince sera punie de mort, alors n'essayez pas de vous esquiver."
Le chef de la garde lève une main pour le faire taire.
"Tais toi! Ca suffit! Je ne doute pas que ces aventuriers seront loyaux envers le prince et le protégeront comme leur vie."
En disant cela il parcour d'un regard perçant les cinq personnes réunies devant lui.